Les Parisiens
Qu’ils ont de ces têtes, les Parisiens !
Orgueilleux autant que des Pharisiens !
À voir leur tête qui l’veau bien, ils semblent
N’apprécier jamais d’être mis ensemble
Mais cependant viennent s’agglomérer,
En l’agglomération s’agglutiner ?!
Tous les jours leur visage prend le masque,
Dur et cassant pour les êtres fantasques,
De celui qui est de tout revenu
Et n’veut rien voir de toi, ni qui es-tu.
Et pourtant, qu’il crue, qu’il neige ou qu’il grève,
En ces beaux moments d’entraide ou de trêve,
Ce masque alors tombe sans coup férir,
Laissant voir, inattendu ! un sourire !