Les Parisiens
Qu’ils prennent de ces airs, les Parisiens !
Orgueilleux autant que des Pharisiens !
À voir leur tête qui l’veau bien, ils semblent
Jamais n’apprécier d’être mis ensemble
Mais cependant viennent s’agglutiner
Dans l’Agglomération s’agglomérer !?
Tous les jours leur visage prend un masque
Dur et cassant pour les êtres fantasques,
De celui qui est de tout revenu
Et n’veut rien savoir de toi...qui es tu ?
Et pourtant...qu’il crue du siècle ou qu’il grève,
En ces cours moments d’entraide et de trêve,
Ce masque alors tombe sans coup férir,
Laissant voir, inattendu ! un sourire !
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