lundi 25 janvier 2016

Un Talion d’Achille

Au Commandant Hugo Chavez

La mort et la guerre, à distance sont lâches.
Des drones de drame qui n’osent pas l'approche,
Des petites frappes, qu'on dit chirurgicales
Mais s'acharnent aveugles, même sur l’hôpital.

Œil pour œil
Dent pour dent,
Deuil pour deuil.

L’amour, la tendresse, et même l’hilarité,
Comme eau souterraine, par capillarité
Elles, ne se diffusent que de proche en proche,
De mains en d'autres mains vois-tu, de prêche en prêche.

De lèvres en lèvres
D’œil en œil,

De rêves en rêves.