Révolution Copernicienne à l’Adolescence
De ce monde étrange qu'au loin nous percevons
Et qui semble tourner autour d'eux bien en rond.
Qu'ils sont alors puissants dans notre esprit prolixe !
Valeurs-refuges nous aimant,
Géniteurs et étalons-or
Tout contre lesquels on s’endort,
Qui calment nos rages de dents.
Une fois adultes et univers d’expansion
Nous nous éloignons d'eux, qui d'eux-mêmes s'en vont
Dans une des banlieues lointaines aux environs
Du monde productif dans lequel nous vivons.
A nos yeux, les voici comme démonétisés,
Des valeurs au flottement généralisé,
Car ce monde, que nous pensions qu’ils maîtrisaient,
Comme ils l’avaient subi ! Comme nous désormais !
Et lancinante alors est la rage dedans,